Jusqu’à ce soir tout était beau
Je réfléchissais sur le chemin d’acier
Perdue dans les nuées, dans les pages
Je marchais au creux de rues inconnues
En laissant parler Celle de la colline
Jusqu’à ce soir tout était beau
J’étais libre alors, et
Créative ;
Sans reprendre les formules passées
Les fonds de casseroles réchauffés d’amour
Portée dessus j’aimais penser
Que vous ne seriez pas
Jamais !
Jusqu’à ce soir tout était pur
Et je m’en glorifiais
Esprit seulement et
Cherchant la beauté dans les zones sinistrées.
J’étais libre alors, et
La colline m’accueillait
Grille arrachée, mon cœur n’était
Qu’une écritoire à l’écoute des routes
Jusqu’à maintenant tout était beau
J’avais trouvé un équilibre
Dans le désordre et dans les rêves.
Ce premier vers, à préserver, à congeler, momifier.. Ca ne devrait pas être permis…
” Les fonds de casseroles réchauffés d’amour ” dur très dur mais il faut endurer.
” d’amour
PortéE dessus j’aimais penser” le féminin se rapporte à Amour ou à quelqu’un ?
Last but not least : ” J’aimais penser que vous ne seriez pas jamais “.
Moi, ce que je pense c’est que je n’ai plus rien à faire ici.
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Pourtant, le refrain est une part importante de la tradition poétique…
Le féminin se rapporte à quelqu’un, en l’occurrence.
Pourquoi vous n’auriez plus rien à faire ici ?
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Ce premier vers et qui revient : ça ne devrait pas être permis d’écrire COMME CA.
Rien à faire ici ? Parce qu’on se demande si on mérite ce que tu nous accordes. En plus qu’on n’est pas toujours à la hauteur (lol).
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Mais mais mais… Pourquoi ? (Ça vaut pour les 2 remarques)
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Il est plus facile de déposer un like que de faire un comm’. Ma réserve de like n’est pas inépuisable. Après, on peut se demander si on est au même niveau. Je ne le pense vraiment pas. Tu as toute ma sympathie.
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J’aime toujours autant ton écriture, les thèmes que tu abordes, et le rythme particulier que tu donnes… Continue comme ça, surtout !! 🙂
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Merci beaucoup Mayura, ça me touche vraiment !
Bon courage pour ta relecture de Ce qui nous éblouit !
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j’aime bien…il y a des affirmations, des évènements…qui tuent les rêves et l’inspiration et notre époque n’est pas favorable au rêve et à la sentimentalité enfin…je crois.
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Exactement !
Enfin, notre époque a de quoi faire rêver, mais c’est différent de ce qu’on connaît, je pense.
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